Évitez la maladie des griffes du chat : Top Conseils

La maladie des griffes du chat, également connue sous le nom de bartonellose ou lymphoréticulose bénigne d’inoculation , est une affection infectieuse qui peut sembler mystérieuse et inquiétante. Cependant, avec des informations précises et un peu de prévention, il est possible de vivre en harmonie avec nos amis félins sans craindre cette maladie.

La maladie des griffes du chat est une infection bactérienne causée par Bartonella henselae. Cette bactérie est principalement transmise à l’homme par les griffures ou morsures de chat, bien que d’autres modes de transmission, comme le léchage d’une plaie ouverte, soient également possibles. 

Les chats, surtout les chatons et ceux vivant à l’extérieur, sont les principaux vecteurs de cette bactérie, bien qu’ils ne montrent souvent aucun signe de maladie.

Cette pathologie est classée comme une zoonose, c’est-à-dire qu’elle peut être transmise de l’animal à l’homme.

La maladie des griffes du chat a été décrite pour la première fois en 1950 par Robert Debré , médecin – pédiatre.

Années 1980-1990 : La recherche progresse avec l’identification de Bartonella henselae comme l’agent causal principal de la maladie des griffes du chat dans les années 1980. Avant cette période, la cause exacte de la maladie restait largement inconnue.

Au fil des décennies, la recherche a permis de mieux comprendre l’agent pathogène responsable, Bartonella henselae, et son mode de transmission via les puces du chat et les griffures/morsures.

Dans les années 2000-2010, des études ont montré que B. henselae pouvait provoquer des formes atypiques de la maladie chez des patients immunodéprimés ou immunocompétents, avec des localisations inhabituelles comme des abcès sous-cutanés.

Des examens comme l’imagerie par résonance magnétique ont aussi aidé à orienter le diagnostic.

La prévalence de la maladie a été estimée dans différentes régions, permettant de mieux cibler les populations à risque. On sait maintenant que l’incidence est d’environ 7 cas pour 100 000 habitants en moyenne

Des études récentes explorent le lien entre la maladie des griffes du chat et d’autres infections comme la maladie de Lyme montrant que B. henselae pourrait jouer un rôle dans certaines formes chroniques.

La recherche se poursuit pour mieux comprendre la physiologie de B. henselae, comme sa résistance dans l’environnement.

Des options thérapeutiques sont aussi à l’étude, comme l’utilisation d’antibiotiques ciblés en cas de formes sévères.

Bartonella henselae est une bactérie gram-négatif intracellulaire , en forme de bâtonnet.Elle vit à l’intérieur des cellules endothéliales (les cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins) et les cellules érythrocytaires (les globules rouges).

Il n’y a pas de preuve claire que B. henselae soit résistante dans le milieu extérieur, mais certaines études récentes montrent qu’elle peut survivre plusieurs jours dans différents fluides (sang, sérum, urine, lait,saline) pendant 7 jours et résister à la dessiccation.

Le chat se fait infecter par Bartonella henselae, principalement par l’intermédiaire des puces

Le cycle d’infection commence lorsque les puces infectées par Bartonella henselae mordent un chat pour se nourrir de son sang. 

La bactérie est présente dans le tube digestif des puces et peut être excrétée dans leurs déjections. 

Lorsque le chat se gratte ou se lèche pour soulager les démangeaisons causées par les piqûres de puces, il peut entrer en contact avec les excréments infectés,facilitant ainsi l’entrée de la bactérie dans son organisme.

La bactérie est présente dans la salive ou les griffes des chats infectés. 

En outre, les chats peuvent également transmettre la bactérie entre eux par l’intermédiaire de morsures ou de griffures, bien que cela soit moins courant. 

Une fois infecté, le chat peut devenir un porteur de la bactérie, souvent sans montrer de signes de maladie, et peut ainsi transmettre la bactérie à l’homme par le biais de griffures ou de morsures. 

Les chats jeunes et ceux vivant en extérieur ou en communauté (comme dans un refuge) sont particulièrement à risque d’être exposés à Bartonella henselae en raison de leur exposition plus élevée aux puces et à leurs interactions potentiellement agressives avec d’autres chats.

La transmission à l’homme se fait alors par une morsure, une griffure ou un léchage d’une peau écorchée de la part d’un chat infecté. Les personnes les plus à risque sont celles en contact fréquent avec des chats : éleveurs, vétérinaires,personnels de refuge, etc.

Après l’exposition à Bartonella henselae, les symptômes peuvent apparaître généralement entre quelques jours et quelques semaines.

Chez l’homme : cela peut se manifester par des symptômes allant de légers à sévères:

  • Rougeur ou pustule au point d’inoculation (là où la griffure ou la morsure a eu lieu). Cette lésion peut être légèrement douloureuse, démanger, ou parfois passer inaperçue.
  • Gonflement douloureux des ganglions lymphatiques régionaux dans les 2 semaines suivant l’inoculation (adénite).Cette inflammation des ganglions est souvent le signe le plus notable de la maladie.
  • Fièvre
  • Maux de tête
  • Sensation de malaise
  • Perte d’appétit
  • Fatigue inhabituelle
  • Douleurs musculaires ou articulaire
lesions maladie des griffes du chat

Chez certaines personnes plus fragiles (jeunes enfants, personnes immunodéprimées,personnes âgées,diabétique, etc.), des complications plus sérieuses peuvent survenir :

  • Atteinte oculaire : conjonctivite, troubles de la mobilité oculaire, une neurorétinite (inflammation de l’œil)  avec une vision trouble, une douleur, ou une rougeur de l’œil.
  • Atteinte cardiaque : endocardite ( (inflammation de la paroi interne du cœur)  
  • Atteinte pulmonaire : pneumonie
  • Atteinte du système nerveux central : méningite, encéphalite

Heureusement, la plupart du temps, la maladie guérit spontanément en 2 à 4 mois sans traitement. Mais il est tout de même recommandé de consulter un médecin en cas de symptômes persistants ou de complications.

En somme, la maladie des griffes du chat est généralement bénigne, mais une connaissance de ses symptômes et une attention particulière en cas de griffure ou de morsure de chat permettent une prise en charge rapide et efficace. 

Un cas humain grave de maladie des griffes du chat 

La maladie des griffes du chat peut entraîner des complications sévères, notamment chez les personnes immunodéprimées. Un cas rapporté en 2008 dans la Revue Médicale Suisse décrit une patiente de 63 ans atteinte d’un lymphome traité par chimiothérapie.

Suite à une griffure d’un chaton, elle a développé une adénopathie cervicale douloureuse avec fièvre et altération de l’état général. L’imagerie a montré une atteinte des ganglions profonds nécessitant une biopsie chirurgicale.

L’examen histologique a révélé une inflammation ganglionnaire avec présence de bactéries du genre Bartonella. 

Un traitement par doxycycline et rifampicine a alors été instauré pendant 3 mois.

L’évolution a été favorable mais lente, avec une persistance de la fièvre et des ganglions pendant 2 mois. 

Ce n’est qu’après 5 mois que la patiente a pu être considérée comme guérie.

Cet exemple illustre que la maladie des griffes du chat, habituellement bénigne, peut entraîner des complications sévères chez certains patients à risque, nécessitant alors un traitement antibiotique prolongé. L’atteinte des ganglions profonds est rare mais possible.

Chez les chats : La plupart des chats infectés par Bartonella henselae ne présentent aucun symptôme apparent. Cependant, dans certains cas, cela peut entraîner une fièvre légère, une fatigue ou une inflammation des ganglions lymphatiques.

Le diagnostic repose principalement sur :

  • L’anamnèse : antécédents de griffure ou morsure de chat dans le mois précédent, notion de contact avec un chaton.
  • L’examen clinique : présence d’une papule ou pustule au point d’inoculation, associée à une adénopathie (ganglion gonflé) régionale. D’autres symptômes peuvent exister comme de la fièvre, des céphalées, une fatigue.
  • La sérologie : recherche d’anticorps anti-Bartonella henselae par immunofluorescence indirecte ou ELISA. C’est le test diagnostique le plus spécifique mais il manque de sensibilité, surtout en début d’infection.
  • L’analyse du liquide ganglionnaire (ponction à l’aiguille) : culture, PCR, examen anatomopathologique à la recherche de B. henselae.
  • Parfois l’hémoculture ou la biopsie cutanée.

Le diagnostic différentiel doit notamment éliminer un abcès bactérien banale, un lymphome ou d’autres causes d’adénopathies.

Oui, il est possible de tester son chat pour voir s’il est porteur de Bartonella henselae, l’agent responsable de la maladie des griffes du chat. 

Plusieurs méthodes de diagnostic sont disponibles pour détecter cette bactérie chez les chats, notamment :

  1. Tests Sérologiques :Test d’agglutination par le latex (LAT) ou ELISA (Enzyme-Linked Immunosorbent Assay) : Ces tests recherchent la présence d’anticorps contre Bartonella henselae dans le sang du chat, ce qui indique une exposition à la bactérie. Cependant, la présence d’anticorps ne signifie pas nécessairement que le chat est infecté actuellement ou qu’il est un porteur actif capable de transmettre la bactérie.
  2. PCR (Polymerase Chain Reaction).Cette technique de biologie moléculaire peut détecter l’ADN de Bartonella henselae dans le sang, la salive ou d’autres échantillons tissulaires du chat. La PCR est très sensible et spécifique, capable d’identifier les chats actuellement infectés par la bactérie. C’est l’une des méthodes les plus directes pour détecter une infection active.

    3.Culture Bactérienne: Bien que moins couramment utilisée en raison de sa complexité et du temps nécessaire pour obtenir des résultats, la culture de la bactérie à partir d’échantillons de sang ou d’autres tissus peut confirmer la présence de Bartonella henselae. Cette méthode nécessite des conditions de laboratoire spécifiques et est plus coûteuse.

Si vous soupçonnez que votre chat pourrait être porteur de Bartonella henselae ou si vous souhaitez prendre des mesures préventives, discutez avec votre vétérinaire des options de test et des meilleures pratiques de gestion pour maintenir à la fois votre santé et celle de votre animal.

Dans de nombreux cas, en particulier chez les individus en bonne santé, aucun traitement n’est nécessaire car la maladie guérit spontanément en 2 à 5 mois. On recommande simplement des antalgiques et de la chaleur locale sur les ganglions douloureux.

Cependant, un traitement antibiotique peut être indiqué dans certains cas :

  • Chez les patients immunodéprimés (VIH, transplantation, etc) pour éviter les complications
  • En cas d’atteinte oculaire, neurologique, cardiaque, osseuse ou viscérale
  • Si les symptômes sont sévères : fièvre élevée, multiples adénopathies, état général altéré

Les antibiotiques recommandés sont :

Azithromycine : Souvent le premier choix pour le traitement des symptômes sévères de la maladie des griffes du chat, en particulier chez les enfants. 

10 mg/kg le 1er jour puis 5 mg/kg/jour pendant 4 jours (enfant) ou 500 mg le 1er jour puis 250 mg/jour pendant 4 jours (adulte)

Doxycycline : 200 mg/jour pendant 28 jours, en association avec de la gentamicine.

Des précautions sont à prendre chez les patients avec valvulopathie cardiaque (risque d’endocardite).

Ciprofloxacine : Parfois utilisée chez les adultes pour traiter la maladie des griffes du chat, surtout si d’autres antibiotiques ne sont pas tolérés ou en cas de contre-indications. ( 500 mg matin et soir pendant 10 à 28 jours 

Traitement des Symptômes

Anti-inflammatoires : Des médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) peuvent être utilisés pour réduire la douleur et l’inflammation des ganglions lymphatiques.

Repos : Le repos est recommandé pour aider le corps à combattre l’infection.

La prévention de la maladie des griffes du chat implique principalement des mesures visant à réduire le risque de transmission de la bactérie des chats aux humains, ainsi qu’à contrôler la population de puces qui joue un rôle clé dans le cycle de transmission de cette bactérie. 

Voici les mesures de prévention recommandées :

  • Éviter les griffures et les morsures : Soyez prudent lors du jeu avec des chats, en particulier avec les chatons qui sont plus susceptibles de griffer et de mordre en jouant. 
  • Éduquez les enfants sur la manière de manipuler les chats avec douceur pour éviter les griffures.
  • Ne pas permettre aux chats de lécher les plaies ouvertes : Cela peut faciliter la transmission de la bactérie si le chat est porteur.

Traitement antipuces régulier : utilisez des produits antipuces recommandés par un vétérinaire pour votre chat afin de prévenir les infestations de puces, qui sont un vecteur clé de Bartonella henselae.

Pipettes anti-puces :Frontline*,Advantage*,Effipro* 

Sprays anti-puces :Frontline Spray*,Anibio Melaflon Spray* 

Comprimés oraux :Bravecto*,Comfortis*

Colliers anti-puces :colliers imprégnés de géraniol ou autres huiles essentielles 

Les traitements doivent être choisis en fonction de l’âge, du poids du chat et des parasites présents localement. Il est recommandé de traiter l’animal et son environnement (panier, canapé…) pour lutter efficacement contre les puces.

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Maintenir un environnement propre : Aspirez régulièrement et traitez votre maison et l’environnement de vie du chat contre les puces pour limiter leur population.

  • Utiliser :des sprays et aérosols insecticides dans les fissures et crevasses
  • Diffuseurs et fumigènes à insecticide pour traiter les pièces,
  • Poudres à base de terre de diatomées, non toxique

Lavage des mains : Se laver les mains immédiatement après avoir manipulé des chats, surtout après les avoir caressés, nourris, ou après avoir nettoyé leur litière.

Désinfection des griffures ou des morsures : Si vous êtes griffé ou mordu, lavez immédiatement la blessure avec de l’eau et du savon et désinfectez-la pour réduire le risque d’infection (chlorhexidine(Hibitane*,Hibidil*,..) iso-bétadine,..) .

Faire examiner les nouveaux chats : Avant d’introduire un nouveau chat dans votre foyer, faites-le examiner par un vétérinaire pour détecter d’éventuelles maladies et traiter les infestations de puces.

Réduire le contact avec les chats errants : Bien que les chats errants puissent sembler en bonne santé, ils peuvent être porteurs de Bartonella henselae et d’autres maladies. Limitez le contact direct avec ces animaux.

Faire tester son chat, surtout s’il est en contact avec des personnes immunodéprimées ou des enfants 

Éducation sur la maladie : Sensibilisez votre entourage aux risques de la maladie des griffes du chat et aux mesures de prévention pour réduire la transmission.

Visites régulières chez le vétérinaire : Assurez-vous que votre chat reçoit des examens réguliers et des traitements préventifs contre les puces et autres parasites. Discutez avec votre vétérinaire des meilleures stratégies de prévention pour votre animal.

La maladie des griffes du chat, causée par la bactérie Bartonella henselae, représente un exemple fascinant de l’interaction complexe entre les animaux, les humains, et les micro-organismes dans notre environnement. Bien que principalement associée à des griffures ou morsures de chat, cette maladie met en lumière l’importance de la cohabitation harmonieuse avec nos compagnons à fourrure, ainsi que la nécessité d’une vigilance et d’une prévention efficace pour protéger la santé humaine.

Malgré son nom, la maladie des griffes du chat va bien au-delà des simples griffures de chat, touchant une diversité d’hôtes et pouvant présenter des symptômes variés chez l’homme, allant de légers à graves. La recherche a grandement progressé dans la compréhension de Bartonella henselae, offrant des insights sur sa transmission, son diagnostic et ses options de traitement. Cependant, des défis demeurent, notamment en ce qui concerne la sensibilisation du public, le diagnostic précis, et la gestion des cas asymptomatiques chez les chats, qui sont souvent les porteurs silencieux de la bactérie.


En conclusion, la maladie des griffes du chat sert de rappel que notre interaction avec le monde naturel et nos compagnons animaux doit être gérée avec soin et respect. En continuant à promouvoir la recherche, l’éducation, et les pratiques de prévention, nous pouvons non seulement protéger la santé humaine mais aussi favoriser le bien-être des animaux qui enrichissent nos vies.

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